La neurodiversité, c’est l’idée que nos différences de fonctionnement cognitif font partie de la diversité humaine. Un concept simple en apparence, mais porteur d’un changement profond : reconnaître que l’autisme, le TDAH, les dys-, et bien d’autres profils ne sont pas des anomalies à corriger, mais des variations naturelles du vivant.
Ce mot, né dans les années 1990 sous la plume de Judy Singer, a pris depuis une ampleur immense.
Il fédère, inspire, divise parfois — mais il a surtout permis à des milliers de personnes de mieux comprendre qu’elles n’étaient pas seules.
J’ai souhaité en faire une page de référence sur Spectres et Cycles, un texte de fond pour revenir aux sources du concept, en explorer les nuances, et interroger ce qu’il implique pour notre société.
👉 Accéder à la page « Comprendre la neurodiversité »
Cette page divisera peut-être, car j’ai choisi d’en comprendre les fondements, d’en souligner les forces, mais aussi de discuter des controverses qu’elle suscite — avant d’y apporter mon propre regard.
De sorte que chacun puisse s’y faire le sien.

