psychose

Quand l’amour devient surcharge sensorielle

Un ancien ami m’a une fois demandé comment je voyais le fait d’être amoureux. J’ai répondu que c’était « tout plein de sensations désagréables dans le corps ». Je n’étais pas encore diagnostiqué et ça l’avait beaucoup amusé. Il n’avait jamais entendu ce genre de description et ma réponse était instinctive. Je pense moi-même n’avoir effectivement jamais entendu cette description ailleurs (j’avais même fait mes recherches comme un bon élève pour le décortiquer).

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